Carnet de bord 2025 – Phil26 – Semaine 17

Et oui, c’est bien les semaines de 4 jours, mais il faut faire le travail de 4 jours en 5 jours. Le gros avantage, c’est que l’on a pas de temps de s’ennuyer ! Une semaine en deux temps, trois mouvements ici : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=17

Carnet de bord 2025 – Phil26 – Semaine 16

Semaine de reprise sur les chapeaux de roues ! Du boulot varié, des rebondissements aussi. Une semaine au taquet histoire de bien se remettre dans le bain ! Bonne lecture, souriez, vous êtes filmés : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=17

Carnet de bord 2024 – Phil26 – Semaine 14

C’est mardi soir, c’est le week-end ! Halte aux cadences infernales, La vie n’est pas le travail : travailler sans cesse rend fou.
C’est pas moi qui le dit, c’est le Général de Gaulle ! Une mini semaine donc, c’est vite lu, même si ça démarre fin mars : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=17&periode=2025-03

QCT, 66 photos

QCT, 66 photos :  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/qct  Quentin Chevrier, originaire de St Nabort dans les vosges, a grandi au bord de la voie express RN57, et toute son enfance a vu passer des poids lourds. Mais ce qui lui a surtout fait découvrir ce métier c’est son père qui est chauffeur routier. Dès l’âge de 5/6 ans, il partait en camion avec lui, il s’est toujours dit qu’il ferait comme lui mais qu’il serait son propre chef.Il ne s’est jamais vu faire autre chose, passionné par ce métier, porté par l’esprit du voyage. Après son bac pro, il roule pendant 3 ans pour mettre de l’argent de côté et avoir un peu d’expérience puis passe une capacité en transport de marchandises et regarde les annonces pour trouver un camion d’occasion. Dès mars 2016, il part sur les routes en étant au début dépendant de plusieurs gros transporteurs, maintenant, il a ses propres clients en direct. Leur cœur de métier, c’est le transport en température dirigée, plus particulièrement en fruits et légumes pour un panel de 64 clients différents, du 5 colis jusqu’au camion complet. En 2022, QCT emploie treize salariés, deux sous-traitants permanents et un exploitant et compte onze véhicules moteurs, douze semi-remorques en propre pour un CA de 2,6 millions d’euros.

Carnet de bord 2025 – Phil26 – Semaine 13

Quand on aime, on ne compte pas ! Alors pour cette semaine encore, 2 allers retours en Catalogne. Presque pas de pluie, presque du soleil ! Une semaine classique et tranquille, ou presque évidement. Si vous avez du temps à perdre, c’est en ligne ici : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=17

Freret & Fils, 34 photos

Freret & Fils, 34 photos  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/freret    Pendant une douzaine d’années, Yves Freret a acquis son expérience de chauffeur comme employé de Mme Hélène, en transportant les légumes des maraîchers créançais vers les halles de Paris. Il faisait trois tours aux halles au volant d’un porteur Berliet de 110 CV. Il avait toujours avec lui une burette pour graisser les culbuteurs. À l’époque, la commune était à 7 heures de route de Paris en camion, le trajet comportait de sérieuses côtes. Il fallait savoir tricoter le levier de vitesse. En 1966, une opportunité se présente, un transporteur prend sa retraite, Yves Freret a alors 35 ans, il lui achète son camion d’occasion et lui prend sa licence en location. L’activité du bassin légumier du secteur etait saisonnière et ne durait que six mois dans l’année. Aussi, pour s’assurer du travail tout au long de l’année, Yves Freret faisait le transport de pommes de terre primeurs de Saint-Malo à Paris et s’expatriait plusieurs mois à Saint-Omer, dans le Nord, pour transporter des choux-fleurs jusqu’aux halles de Rungis. Il prend sa retraite en 1997 et passe le relais à ses deux fils, Denis et Norbert, après avoir effectué plus de 4 millions de km durant toute sa carrière. L’entreprise s’est agrandie d’année en année. Son petit-fils, François, a lui aussi emboîté le pas et emprunte toujours la RN13 pour aller aux halles de Rungis. C’est aussi un grand sportif dans la discipline du camion super-cross dans laquelle il s’est classé tour à tour champion de France et vice-champion. Freret & Fils est une entreprise de la Manche, basée à Lessay. (source Ouest France)

Carnet de bord 2025 – Phil26 – Semaine 12

Du grand classique cette semaine, et encore une incursion par la 88. Presque un copié collé de la semaine passée, mais toujours ce petit grain de sable qui pourrait être fatal à une organisation millimétrée 😀 Météo pourrite, de la nuit, amuse toi à faire des photos !!! Et c’est en ligne ici : https://www.fierdetreroutier.com/carnet/index.php?id_chauffeur=17

Merle, 35 photos

Merle, 35 photos  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/merle Zoé Merle crée son entreprise dans les années 60, expéditeur en fruits et légumes à Moissac, il avait 2 chauffeurs qui faisaient de l’est toutes les semaines. Sur les camions était écrit Louis Merle, en hommage à son père Louis, prénom qu’il donnera également à son fils. C’est en 1988 que Louis Merle(fils) poursuit l’activité de son père. L’entreprise est toujours spécialisée dans le transport de denrées périssables notamment les fruits et légumes du bassin de production du Grand Sud-Ouest (95 % du CA). En octobre 2003, elle a ouvert à Strasbourg une plate-forme logistique de 3 000 m2 consacrée aux produits industriels. En 2004, l’entreprise dispose d’un parc de 180 cartes grises. Elle dessert le nord et l’est de la France. Entre 2011 et 2015, SATAR rachète progressivement 100% des parts des Transports Merle, Satar sera ensuite rachetée par Inter Légumes, devenue Primever.

Transports Lubac, 425 photos

Lubac, 425 photos :  https://www.fierdetreroutier.fr/piwigo/index.php?/category/lubac   Au début des années 80, Robert Lubac profite de ses nombreux contacts aux abattoirs de Valence dans la Drôme ou il est employé pour créer sa société de transports, spécialisé dans le transport de viandes bien sûr. Familiale l’entreprise se développe tranquillement avec ses plus proches amis. Le parc est assez hétéroclite, on y trouve côte à côte des Volvo F12 Globetrotter, Renault R, Pegaso et DAF. En parralèle les transports Lubac se développe sur le secteur du primeur avec les nombreux petits expéditeurs de fruits dont regorge la région. Très vite, l’entreprise propose des publicités sur les frigos, Noix de Grenoble, Ville, Sicoly, du plus bel effet. Avec le départ de l’un des chauffeurs qui monte son entreprise avec des clients en viandes, l’activité se recentre essentielement sur le primeurs qui est surtout saisonnière, et régionale. Lubac est très présent sur l’axe Vallée du Rhône – Toulouse – Bordeaux, mais aussi Marseille, Lyon. A la fin des années 90, Provence Dauphiné s’associe avec Lubac qui prend en charge les transports du groupe, ainsi que les anciens chauffeurs devenus Transport Lubac. La desserte des plates formes du groupe est plus régulière, tous les jours des départs se font de Perpignan ou Barbentane vers Valence, Grenoble, Annecy, Sallanches, Thonon, Annemasse. Aux périodes de vacances aux sports d’hivers les  camions sont archi blindés. Dans le même temps, beaucoup de transports se font au départ de Barbentane vers le marché de Milan ou Munich. La plateforme historique de Portes Lès Valence avec ses 5 quais montre vite ses limites, les transports LUBAC s’implantent alors sur un grand terrain proche de la rocade de Valence à Montéléger. Les transports Lubac se developpent beaucoup sur le Val de Saone, avec plusieurs tours de ramasse qui sont ensuite regroupés à Valence, les délais de livraisons vers certaines centrales du sud ouest sont ultras tendus. Quelques affrétés permanents viennent épauler l’équipe. Transfun, TFD, Almeida, Bellagambi. Lubac réalise aussi beaucoup de logistique en préparant les ramasses pour Leible, Gartner vers l’Allemagne. Le groupe CEMOI fait aussi parti des clients au départ d’Arras, Chateauneuf/Loire, Macon vers le sud, avec des complets ou des lots qui sont intégrés aux tournées de groupage primeurs. A Montéléger, sur le terrain voisin se monte une plateforme jumelle dédiée aux supermarchés ATTAC, puis un dépôt à Feillens pour se rapprocher un peu plus des producteurs du Val de Saone. En 2012, Robert Lubac vend sa société à Primeale qui crée Lubac groupe Transaveur. En 2015, le groupe fusionne entièrement avec Inter-Légumes.