Mon Carnet de bord... Suivez mes aventures, semaine après semaine!

Décembre 2006

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Vendredi 1

A 1h je suis en coupure au MIn de Perpignan, ou il n'y a personne, sauf évidement le gland catalan moyen qui klaxonne à 7h du matin, juste our faire coucou à son copain. Bref, vu que dès qu'un mouche pète je suis reveillé, j'enrage. A 10h je vais vider après je vais manger avec les copains et en milieur d'après midi je suis rechargé pour remonter à Valence, ou on me vide toute la semi.

Et comme chaque vendredi je vais recharger mon chocolat à Tain pour repartir dimanche, je me sens vieux de faire un boulot routinier. Quoi qu'il en soit, à 22h c'est le chef de quai qui fait le crochet par St Peray pour me ramener à la maison.

Ils font du bon boulot chez Fiséda.

Samedi 2 Repos  
Dimanche 3 Ce soir, je n'ai pas a passer au MIN de Grenoble, je gagne donc, 1h de plus à la maison. Je monte tranquillos par la nationale, direction l'Italie.  
Lundi 4

J'ai Rendez-vous à 6h dans la banlieue de Turin avec un patissier, à coté d'Orbassano. Ma palette n'était pourtant pas grosse, 35 colis, mais la golf du patissier est partie bien chargée! Du coup je me tape le boxon arrivé à Milan, et je tombe sur le fils de Mussolini pour vider le reste, ce n'est qu'à 11h, que j'arrive au MIN de milan pour recharger, à midi je suis au lit.

A 20h, je redecolle et ça roule bien, je repasse par Allesandria car l'autoroute est fermée aprés Carisio la nuit. Pas le temps de m'arreter à Susa, je coupe comme un gland 45 minutes vers Aiton.

Bordel monstre le lundi matin à Milan.

Mardi 5

A 2h, je suis au MIn de grenoble, je file une fois vide dormir vers Lyon.

Il n'y a pas grand chose à faire quand j'appelle à 14h, en plus, j'ai un RDV aux mines demain, je fais donc 2 ramasses en redescendant sur Valence, et à 19h, comme tout fonctionaire qui se respecte, je rentre à la maison.

Mercredi 6 Repos
Jeudi 7 Finalement, on me donne un tour de Rungis ce soir, pratiquement complet, mais avec 9 clients. Je suis en forme ce soir de toutes façons. En plus, je pars tôt à 19h du dépot, donc bien avant les stars du 13 !
Vendredi 8

A 2h45, je pose mon premier client, et j'attends 4h pour l'ouverture du suivant. Finalement à 5h30, j'ai terminé, plus qu'un client à Vitry, et vu les cordes et le vent qu'il y a sur Paris, c'est déjà bien bouché sur l'A86. A 6h45, enfin, je pose mes deux dernières palettes de salades, et je vais rejoindre Fabien pour déjeuner sur la RN20 aprés Morchamps, 1h30 pour faire 35km. On file ensuite vers chateauneuf/loire par Pithiviers, la route est deserte et elle est jolie. A 11h, on est rechargés, on va manger et au lit. La caserne des pompiers est a à coté de la chocolaterie, à cause du vent terrible, les pompiers n'arretent pas d'aller et venir.

A 20h, Fabien file sur Clermont, moi je remonte du coté d'Artenay completer avec 4 palettes de patates, et je redescends par Bourges.

Avec le Fab, qui a touché l'ancien 500 à Jeannot !

Samedi 9

Je dois faire le crochet par Pont de Vaux, qui du reste est magnifiquement illuminée, ou je dépose mes 4 palettes de patates au dépot. Je file sur Valence, et à Feyzin, je m'octroie 2h30 de sieste, ça sert à rien que je rentre à 6h du matin à la maison, reveiller tout le monde!

Finalement, je me pointe à 9h au dépot, ce qui me laisse le temps de déconner un peu avec tout le monde avant de rentrer à la maison, avec cette satané Twingo qui a encore la batterie à plat.

Dimanche 10 Départ dans le froid, enfin, j'ai pris froid, à 21h. D'abord je vais vider un camion à Portes lès Valence, et ensuite je prends le mien direction Grenoble par la nationale, bien sûr. A 23h30, j'ai fini au MIN de Grenoble et je file vers l'Italie.
Lundi 11

C'est pas facile de rouler quand on a la crève parfois, je m'octroie royalement 2h de sieste à Oulx, histoire de faire la descente sans se faire mal. En plus, il meule cette nuit et la neige qui a fondu fait des petites plaques de verglas, pas enfin de faire la une de la stampa mardi matin.

A 6h30, je suis chez mon client à Rho, Mussolini est là, mais c'est le "gentil" qui me vide, à 7h je file vers le MIN de milan, du coup, j'évite peu les bouchons, et je peux enfin roupiller sur mes 2 oreilles. Le soir je décolle avant le boxon, ce qui me permet de faire un tour dans la galerie marchande du Auchan de Rivoli car c'est bientot Noel.

C'est toujours le boxon, mais on s'y retrouve quand même.

Mardi 12

A minuit je suis au MIN de Grenoble, le temps de tout poser, et de reprendre une palette à livrer d'urgence au MIN de Lyon, à 2h, je suis reparti, je coupe par St Jean de bournay pour varier les plaisirs, une fois ma palette posée à Lyon, je file ronfler au calme.

A 14h, je vais faire une ramasse à la murisserie derrière la patinoire et je descend au dépot, ou je campe jusqu'à 20h. J'ai une tournée facile, tant mieux, j'ai pas la Olympic forme, je pose à Avignon et Fréjus.

Mercredi 13

Arrivé au MIN de Nice, j'ai 3 clients à faire, il y a un Italien qui ne veut pas se lever pour vider, mais comme il est devant moi, il est prioritaire, du coup je fais un "deal" avec le cariste, je tire les palettes au rital, en échange de quoi, il va livrer mes 2 autres clients avec son fenwick, tope là mon gars, et j'ai gagné une petite heure de sommeil. Je finis en beauté avec Le Luc et Brignoles, je remonte à vide jusque Nimes ou j'arrive à 6h du matin, alors que le parking du centre routier se vide.

A 15h, je suis frais et dispo direction Perpignan, ou je fais 2 ramasses avant d'aller au dépot, il y a quelques copains, Yacine, Alain et le Pit Bull, ça fait passer 5 minutes. Je pars le dernier à 20h30, j'ai le temps.

Le centre routier de Nimes, pour moi tout seul.

Jeudi 14

A 1h, je pose une palette en passant à Loriol, et quelques piles d'Europ au dépot, ou Yacine me rejoint pour le café. De là, je file livrer 17 palettes de salades à Genas, le 500 ne forcera pas cette nuit.

Après le café à 14h je pars charger au MIN de Lyon, direction le MIN de Grenoble, j'ai eu du bol, je n'ai eu aucun bouchon à 16h30 à Grenoble, en plus le tram est en panne, allez comprendre! Je finis à 19h à Annecy, je dois aller à vide à Macon, comme j'ai le temps je file par la RN84, et le Cerdon jusque Macon ou j'arrive à 23h.

L'hiver arrive, mais tout doucement.

Vendredi 15 A 11h, je rejoins Bruno au dépot à pont de Vaux, je vais avec lui faire les ramasses, et j'en profite pour faire le couillon et quelques photos dans les poireaux. A 13h30, je suis rechargé, direction Valence, je traverse Lyon comme une fleur. Finalement, encore un tour de ramasses sur Tain, et en revenant, je vois mon Fabinou qui a le sourire jusqu'aux oreilles car il est en vacances. Pas moi, mais on vera ça plus tard.

Bruno bosse, et moi je fais le couillon.

Samedi 16 Repos
Dimanche 17 Je pars tot, à 16h, pour tout livrer à l'heure, en plus j'ai RDV avec un collègue de Perpignan pour faire un échange de palettes à Avignon à 18h. Première (mauvaise) surprise, le palette que je dois recuperer au sas du dépot, qui a été laissé par un transporteur de passage est completement explosée, et vu que je dois la livrer en dernier, je suis quitte à la refaire avant de partir. Une fois à Avignon, le collègue n'arrive pas, il se pointe à 19h30, le temps de transvider et je repars à 20h, sympa le collègue, mais bon, d'après lui, c'est pas de sa faute. En passant, je livre à Aubagne, et Hyères.
Lundi 18

A minuit, je suis à Fréjus, salement en retard, pour arranger le tout, j'ai une énorme palette de tomates qui manque de s'ecrouler à force d'avoir été manipulée depuis le Maroc, le cariste est fou de rage, il m'envoie 2 gars pour m'aider, au moins, j'ai pas eu de reserves. J'arrive à Nice, et je livre le MIN en moins de 20 minutes, je file direction Milan. J'arrive au turchino à 5h du matin, déchiré, et je dors 2h. Au reveil, la température a chuté d'un coup, le temps d'aller boire le café et je suis en forme. Arrivé sur milan, c'est le grox boxon, d'autant qu'il tombe des cordes. Je fais mes 3 ramasses sur le MIN, et à 11h, je suis au lit.

A 20h aprés avoir tourné 2h en rond au lieu de pouvoir repartir, je trouve la porte de la douche fermée à Susa, ce qui me fait encore plus enrager. Il commence à neiger au niveau de Oulx, mais c'est pas méchant.

Et l'hiver est arrivé, en moins de 2h au Turchino.

Mardi 19

J'arrive à 1h au MIN de Grenoble, le temps de livrer mes 2 clients, et de recharger en emballages vides, à a peine 3h, je suis en route, je fais le crochet par ma maison endormie pour faire une pause café et douche, j'ai le temps, je desscends tout par la nationale. Je me cache au fond du dépot à Barbentane pour bien dormir.

A 17h, je livre mes emballages, et je recharge des salades pour Rungis, au passage à Valence, je recupère 8 palettes de légumes, je passe le fourvière juste avant la fermeture à 20h58! En montant je bois le café à Chalon avec le gentil Leader26. Il fait froid, juste de quoi faire des petites stalactites au niveau de l'écoulement de l'eau des salades.

 

 

Mercredi 20

A 2h45, je suis je le dégroupeur à la Senia, je pose mes 8 palettes. J'ai encore 7 clients sur le MIN, mais ça se passe comme sur des roulettes, à 5h, je poireaute chez mon dernier client à Vitry, qui me prend une heure plus tard. Je finis mes heures sur l'A10, au niveau d'orléans nord.

A 17h, je décolle, je craignais la traversée d'orléans, et ça passe bien. Je recharge du chocolat, c'est lourd, alors je passe tout par la nationale 7 ça accroche bien!

Orléans, pas de dégel.

Jeudi 21

Pour rejoindre mon pote Roger au MIn de Lyon, je passe par le Pain Bouchain, ça faisait longtemps, mais avec le brouillard, dur dur. Le temps de faire un petit somme, et Roger me reveille, je lui file ses Marlboro. A 5h, je suis au dépot, et je rentre à la maison pour dormir.

Le soir, je pars A 20h, en retard, et j'ai pas mal de boulot en plus! Mais bon, pas de ma faute. Heureusement, je n'attends nulle part, même à Aubagne, je passe en 15 minutes. Idem à Fréjus.

 

 

Vendredi 22

J'arrive au MIN de Nice à 1h30, et c'est déjà l'hémoragie, les commerçants préparent Noel, mais encore une fois, j'ai du bol, je livre mes 5 clients en 20 minutes. Je ne vois personne dans la Turbie, et je pulvérise mon record, 35 minutes jusqu'au péage de Vintimille. Du coup, j'ai une peche d'enfer, et je dois stopper mon élan, à Conoli pour faire la petite coupure. C'est donc les pattes cassées que je repars, et je commence à trouver long la route jusqu'à Stradella, ou je fais ma coupure de 9h, il est déjà 7h du matin, le parking PL est vidé de ses habitués, tant mieux.

ça sent le reveillon, il n'y a aucun camions, ou presque quand je repars à 16h vers Verone, ou j'arrive comme une fleur à 18h. Le temps d'aller faire une ramasse, et j'arrive chez mon client pour tout vider, peser, étiquetter. En plus, les responsables sont partis et rien ne correspond avec le CMR. Du coup, à force de vider, recharger, tourner, virer, je décolle à 22h15 de Vérone, mais les italiens m'avaient laissé des cadeaux : un panetonne, une bouteille de Martini et un colis de fruits. Buon natale, buon feste!

Un parking de kékés,vide.

Samedi 23

Il n'y a plus de camions, ou peu cette nuit, et ce sont les touristes qui ont pris le relais, ils roulent tous en plein phares et antibrouillard, du coup, je peux eteindre mes feux, on y voit comme en plein jour.

A la pause café à rivoli, je tombe au milieu de jeunes gens qui sortent de boite, je vous dit pas le boxon, et la tenue trés trés courte de certaines filles, qui visiblement, ne craignent pas le froid.

la route est blanche de givre depuis la sortie de Grenoble, autant, en Italie, ils salent, qu'ici, rien, alors que ça glisse, les touristes eux ne se rendent compte de rien, et j'ai peur qu'il y ait un abruti qui vienne m'accrocher. A 7h, j'arrive au dépot, entier, et soulagé.

 

 

Dimanche 24 Repos
Lundi 25

Pas facile de repartir après ces fêtes, et ces excés en tous genres. Le père Noel m'a bien gaté encore une fois cette année, un peu de pusique, des DVD, et des bricoles pour le camion, et bien sur, des bouquins et quelques habits neufs.

Heureusement, j'ai un voyage pépère, et pour me mettre dans le bain (l'eau est glacée ce soir) je ralie Grenoble par la nationale. Je traine un peu à la machine à café avec les préparateurs au MIN de Grenoble, qui ne sont pas en meilleur état que moi. Du coup, vu que ça gèle dur, je ne prends pas les chemins de traverese pour rejoindre Lyon.

Spéciale dédicace à mon ami Alain26, qui crève de jalousie de ne plus faire de salades et de promener de gros glaçons, tel le scandinave moyen.

 

Mardi 26

J'ai 2 palettes à poser à Mions, et je file finir mon "voyage" au MIn de Lyon, à 3h, j'ai tout bouclé et je dors sans berceuse.

A midi je vois mon Jeannot, qui ne pete pas le feu, et même nos 6 cafés, ne nous mettront pas de coup de fouet. Je descends direct à Valence dès 14h, et j'attends à quai au dépot avant de descendre sur le 31.

J'ai RDV avec Kanabys 34 au centre routier à Narbonne, et pour une fois que je suis décidé à aller manger au routier, tout est fermé pour cause de congés, en plus, le resto du centre routier est devenu une boite de nuit. En attendant, ça roule trés mal sur l'A7, à croire que les glands de juillet/aout sont déjà là. ça m'a fait super plaisir de voir François, dommage que je n'ai pas plus souvent le temps.

Et oui! Moi aussi, j'ai eu ma plaque illuminée, merci Mr Leader, du boulot de pro! Et une chouette surprise!!!!

Mercredi 27

A minuit, je suis à la base Leclerc à Toulouse, et j'enchaine avec Casino, pour finir au MIN de toulouse, papotage à la machine à café du dégroupeur, ça gèle dur, et il nous faut du courage pour trainer sur les quais givrés. Je file par la 113 et la 9 jusqu'au MIN de Perpignan, ça gèle jusque Sigean.

Je fais simplement 2 ramasses sur le MIN à 16h, et je suis pret à partir pour Divonne, je m'arrete simplement ajouter 10 palettes au dépot à Valence, je suis chargé en salades, et j'agoisse pour monter à Divonne, en sachant qu'à Valence c'est déjà verglacé.

Pour conjurer le sort, et par connerie sans doute, je veux jouer le dur, et je passe quand même par la Pont de la Caille et la RN84, je me suis maudit de monter par là....

Comme Pomme, j'ai moi aussi un nouveau pote, qui secoue la tête à la moindre secousse. Vous ne trouverez pas cet article chez les vendeurs d'accessoires tuning.

Jeudi 28

...Mais quel bonheur d'y arriver quand même, il faut dire que je ne suis pas géné par le trafic, alors je peux à loisir couper les virages, et ne pas craindre le coup de frein fatal. A la sortie de Cessy en montant sur Gex, c'était tellement verglacé que j'ai bien cru que le camion ne monterai pas. A 3h je suis vide, et je repars vers Nantua, le trouillomètre à 0, tout ça pour finir de remplir le disque....A 5h30, soulagé, je tire les rideaux en haut du col de Ceignes.

Au reveil je retrouve Jerome21, qui vient de toucher un FH480 tout neuf, et Roger que je reveille tout doucement pour aller boire le café, il fait un soleil radieux.

A 15h, je descends vers Cuisery pour charger un complet primeur, une fois au dépot, on me sort quelques palettes, on m'en rajoute d'autres et direction le sud.

ça givre dur dur sur le 74.

Vendredi 29

Pour aller sur Hyères, je coupe par le col de la Bigue, je suis surpris ici aussi, de trouver quelques plaques glissantes, mais j'avais mis du poids à l'avant, donc pas de soucis. Je file ensuite au MIn de Nice, ou je me pointe avec 1h de retard, mais personne ne dit rien. Je termine à la base au Luc et je dors entre Brignoles et St Maximin, il est 5h30 quand je ferme le 45tours.

14h30, coup de fil au chef : "File au marché des fleurs à Hyères, tu prends 19 palettes pour Grigny, on nous a dit que c'était pret, tu peux charger" Une heure plus tard, je suis dans la cour du transporteur qui nous a affrété, il fait mine d'appeller le client, et me déclare : "ça sera pret à 21h", impeccable, je retourne au camion, je fais du ménage en attendant. Heureusement, j'ai bon caractère sinon, sans quoi, il y avait de quoi s'enerver. Moi qui croyait charger des fleurs, c'est raté, je remonte avec 19 palettes des pommes de terre, et finalement, à 20h, je ferme les portes du frigo.

Redoux spéctaculaire en Provence.

Samedi 30

A minuit, je recupere 3 palettes au dépot pour Grigny, au moment de partir Roger et le petit Alain arrivent, glandage 1h à la machine à café. Je vide en arrivant à grigny et dodo.

11h, j'attaque les dernières ramasses de l'année dans les monts du Lyonnais, je charge 8 palettes de patates chez un expéditeur (un balèze du 42). Mais pas de bol, tous les transpalettes electriques sont en rideau, il n'y a quasi plus personne sur place, hormis le fils du boss, et une petite preparatice qui est sur le pont de rentrer. Le petit intello met donne royalement un tire pal à main, completement rouillé, pour charger des palettes de 800kg, sympa.

Finalement, à 14h30, je pose le camion, et je rentre bien content pour aller vite faire un tour à Auchan avec ma bibi.

 

Sur ce, je vous souhaite un bon reveillon, sobre, bien sur. Et je vous donne RDV l'an prochain, pour de nouvelles aventures!

15 jours sans pouvoir laver, ça commence à se voir....

Dimanche 31 Repos